En plus des centres bourgs déjà éteints, d’autres sites ont d’ores et déjà été identifiés :
- le Chaumet à Évires, concerné à partir du 13 octobre 2022
- la route de la Frétallaz à Saint-Martin-Bellevue
Ce dispositif d’extinction partielle sera progressivement étendu à d’autres lieux ne présentant pas de contraintes de sécurité.
Bon pour la planète
L’extinction partielle permet de préserver la biodiversité. Les animaux (oiseaux, insectes, chauve-souris) ont besoin de l’alternance du jour et de la nuit pour leur équilibre naturel, pour migrer ou se nourrir. Ces 25 dernières années, 75% des insectes et 30% des oiseaux ont disparu. Le fait d’éteindre l’éclairage public pendant quelques heures permet aux espèces de retrouver leur cycle naturel.
Bon pour le portefeuille
Au regard de l’actualité, la maîtrise des consommations d’électricité est nécessaire, d’autant plus que les communes ne bénéficient pas du bouclier tarifaire et subissent de plein fouet l’augmentation du coût de l’énergie.
À titre d’exemple : Les dépenses en énergie s’élevaient à 452 000 € au 31/12/21. En 2022, 348 000 € ont déjà été consommés au 31 août. Certaines communes ont vu leur budget énergie multiplié par 32.
Par ailleurs, éteindre les lampadaires permet d’augmenter leur durée de vie, ainsi que celle des ampoules et du matériel.
Vous souhaitez demander l’extinction partielle de l’éclairage public dans votre rue/quartier?
Contactez : participation@commune-filliere.fr,
la faisabilité de votre requête sera étudiée.